Les entrepreneurs sont de plus en plus nombreux à vouloir lancer leur micro-entreprise. Cependant, ils hésitent souvent lors du démarrage. Trouver une idée de business n’est pas toujours évident. Encore plus si votre objectif est de travailler depuis votre domicile. Dans cet article, nous allons découvrir les opportunités qui s’offrent à vous. Pourquoi trouver sa première idée de business pour sa micro-entreprise Si vous avez déjà quitté votre travail pour passer à votre compte, l’affaire peut se révéler plutôt simple. Si vous êtes dans ce cas-là, généralement vous effectuez ce basculement du salariat vers l’indépendance financière en utilisant des compétences déjà acquises. Prenons l’exemple d’Olivia, ancienne comptable dans une TPE de taille moyenne. Son responsable direct lui a fait miroiter une augmentation de salaire qu’elle attend depuis trois ans. Elle décide de tout quitter pour prendre sa vie en main et se crée un statut d’auto-entrepreneur. Elle propose ses services en comptabilité à des prix attractifs, en commençant par les jeunes start-ups pour les alléger de la lourde contrainte que représente la comptabilité d’une entreprise. Grâce à ses compétences, elle gagne rapidement ses premiers euros. Cependant, nous ne sommes pas tous comme Olivia. On n’a pas toujours des compétences qui permettent de les utiliser ailleurs. Ou, tout simplement, on cherche justement à s’en éloigner parce que l’on est en quête d’autre chose. Si vous êtes dans ce cas-là et que vous cherchez une solution pour gagner de l’argent par vos propres moyens, il faut bien distinguer deux choses : Cherchez-vous une activité manuelle ou au contact des autres en vous faisant passer le moins de temps possible devant un ordinateur… ou, au contraire, souhaitez-vous mettre en place un système qui vous permettra de gagner de l’argent tous les mois de façon automatique même si cela implique de passer ses journées sur internet ? La distinction de ces deux points est vraiment importante. Ils ont la même finalité, mais leur quotidien ainsi que leur mise en place sont complétement différents. Un business en ligne pour tous ceux qui cherchent une liberté financière via les biens-faits de la micro-entreprise Le choix de la voie des business en ligne pour gagner de l’argent doit être fait en pleine conscience. Sur le papier cela parait alléchant, mais ce type d’activité ne va pas correspondre à tout le monde. À ce stade, vous vous demandez peut-être « mais à quoi ressemble un business en ligne ? ». L’objet de cet article n’étant pas de vous énumérer en détail toutes les possibilités que vous avez pour gagner rapidement vos premiers euros sur internet, voici le lien d’un site qui traite de ce sujet : Formation-revenu-complementaire.fr. Il vous permettra de vous faire une idée de ce type de business en ligne qui vous permettront de vous créer des revenus passifs sérieux. Pour faire court, le principe de chacune de ces opportunités est de mettre en place un système qui vous rapportera des revenus passifs tous les mois. Chacun nécessite du temps et des efforts de mise en

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Les très petites entreprises assujetties au régime de micro-entreprise ont un nombre assez réduit d’obligations comptables. Parmi d’autres documents, elles doivent tenir un livre-journal des recettes. Il faut préciser que la facturation doit être réalisée en conformité avec les règlementations en vigueur. De plus, les inspecteurs de l’administration fiscale peuvent demander de tenir un registre des achats. Aujourd’hui, de plus en plus de chefs décident d’externaliser la comptabilité de leur entreprise ou de leur société afin de pouvoir diriger toute leur attention vers des tâches plus importantes de leur quotidien. Les obligations comptables des TPE dépendent de leur régime d’imposition (réel normal, réel simplifié ou micro-entreprise). Stocker ses documents pendant 10 ans Selon les règlementations en vigueur, les TPE assujetties au régime d’imposition réel normal doivent effectuer un inventaire au moins une fois par an. L’objectif de cet inventaire est de contrôler la valeur de ses passifs et de ses actifs. Cet inventaire doit être réalisé jusqu’à la fin du mois de décembre. Les TPE assujetties à ce régime fiscal doivent également tenir une comptabilité d’engagement. Plus exactement, elles doivent enregistrer chronologiquement tous les mouvements qui affectent leur patrimoine (charges, ventes, achats, etc.). De plus, elles doivent archiver et stoker toutes les pièces comptables pendant plusieurs années après la clôture de l’exercice. Cette période ne peut pas être inferieure à 10 ans consécutifs. Travailler avec des experts-comptables fiables La comptabilité des TPE assujetties au régime de la micro-entreprise est aujourd’hui simplifiée. Selon les lois actuelles, vous ne devez pas enregistrer tous les mouvements concernant votre patrimoine. Vous ne devez pas tenir de livres comptables, ni produire des comptes annuels. Les obligations comptables d’une TPE assujettie au régime micro-entreprise sont peu nombreuses. Vous devez tenir un livre-journal des recettes et établir une facturation conforme aux règles en vigueur. Dans certains cas, il peut être nécessaire de tenir un registre des achats. Cette démarche s’avère être utile pour avoir une évidence des achats engagés chaque année. Les experts de Strego sont qualifiés et fiables. Ils vous aident à tenir votre comptabilité en respectant les lois actuelles. Grâce à leur expérience dans ce domaine, ils peuvent prendre en charge la tenue de votre registre d’achats, ainsi que la tenue de votre livre-journal des recettes. Les services des spécialistes de Strego s’adaptent au contexte des TPE.

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Alors qu’une baisse notable a été remarquée lors du mois d’avril 2012 concernant les créations d’entreprise, il semblerait qu’il soit nécessaire de redonner un coup de fouet aux porteurs de projet. En effet, sans création de structures, il n’y a pas de création d’emplois, ce qui est évidemment un manque à gagner colossal pour la société comme pour les personnes susceptibles de franchir le cap.

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Le contrôle fiscal est une procédure courante en entreprise, qui consiste à étudier les pièces justificatives fournies par le dirigeant afin de vérifier ses revenus, ses dépenses et ses résultats. C’est un processus qui peut se dérouler soit directement sur place soit à distance, mais jamais au dépourvu. Il existe deux types de contrôles : un contrôle interne ou contrôle sur pièce et un contrôle externe ou vérification de la comptabilité. Pour aborder sereinement ce contrôle fiscal, il convient élucider les raisons de cette démarche administrative, les documents à fournir et le déroulement du processus. Pourquoi doit-on faire un contrôle fiscal à une entreprise ? Pour faire un contrôle fiscal interne, il n’y a pas de raison particulière. C’est une vérification de la cohérence des différentes déclarations reçues par l’administration en vue d’évaluer la situation fiscale de l’entreprise. C’est seulement en cas de constatation d’anomalies, comme une incohérence dans les montants déclarés, qu’un contrôle fiscal sera approfondi. En général, une entreprise doit subir un contrôle fiscal après 9 ans d’existence et ensuite tous les 3 ans selon les circonstances. Comme il s’agit d’une procédure comptable et administrative, elle peut toucher aussi bien les particuliers que les professionnels. Elle consiste à faire des vérifications et des confrontations d’informations afin de vérifier la transparence et la régularité d’un contribuable en matière d’impôts. En matière de fiscalité, recourir à un fiscaliste est précieux surtout si l’entreprise se trouve dans une situation délicate. C’est un spécialiste qui peut aider et accompagner le dirigeant dans cette procédure. Il va donner des informations sur les personnes ou services concernés par ce contrôle, le déroulement de la procédure et ses conséquences. Le déroulement d’un contrôle fiscal dans une entreprise Toutes les entreprises peuvent subir un contrôle fiscal, y compris les micro-entreprises. C’est une opération dirigée par la direction générale des finances publiques ayant pour but de recouvrer les suppléments d’impôts et de lutter contre la fraude. Que ce soit sur place, au sein de l’entreprise, ou à distance, c’est-à-dire depuis les bureaux de l’administration fiscale, le déroulement d’un contrôle fiscal commence toujours par un avis de contrôle avec quelques indications. Les indications peuvent concerner le nom du contrôleur fiscal, le nom du supérieur avec leurs coordonnées, les obligations et le droit du dirigeant contrôlé ou encore la date du début de procédure. Après que l’entreprise reçoive cet avis, un délai de 2 jours lui est accordé pour préparer les documents nécessaires. Ensuite, le contrôleur fiscal procède aux vérifications relatives à la période concernée en consultant les pièces justificatives comptables, le livre-journal, l’inventaire et les autres documents se rapportant aux statuts de la société. Il doit être accompagné d’un expert-comptable ou par le dirigeant de l’entreprise. Les procédures se terminent par une conclusion et une proposition de rectification. 30 jours plus tard, l’entreprise aura la possibilité de faire objection aux rectifications pour défendre ses intérêts. En cas d’anomalies fiscales, les sanctions appliquées dépendent du fait que les fautes commises ont été involontaires ainsi que de la bonne foi

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En 2009, près de 200000 emplois devraient être crées grâce au statut d’auto-entrepreneur institué par la Loi de Modernisation de l’Economie. Proche des statuts « free-lance » ou micro-entreprise, ce nouveau genre vise à lutter contre le travail au noir et encourager les porteurs de projet.

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Tout comme les autres entrepreneurs et professions libérales, les avocats ont l’obligation de tenir la comptabilité de leurs activités. Leurs obligations fiscales et comptables dépendent du statut qu’ils ont choisi. Ils ont la possibilité de gérer ces démarches eux-mêmes ou de les confier à un professionnel, soit à un cabinet comptable. Quels sont les statuts et les régimes des avocats ? Les avocats ont plusieurs choix en matière de statut juridique. Ceux qui ont opté pour une entreprise individuelle sont concernés par le régime du micro-BNC ou par le régime déclaration contrôlée. Les avocats n’ayant pas opté pour le statut de l’entreprise individuelle peuvent exercer leur activité en tant que société d’exercice libéral ou SEL. Il y a ainsi 5 types de SEL : SELARL ou SEL à responsabilité limitée SELURL ou unipersonnelle à responsabilité limitée SELAFA, qui a une forme anonyme SELAS ou SEL par actions simplifiée SELCA : en commandite par actions Les avocats qui exercent en tant qu’entreprise individuelle micro-BNC ne sont pas concernés par les comptes annuels ni par la déclaration de résultats. Ils n’ont pas l’obligation de tenir la comptabilité, mais doivent avoir un livre de recettes et les déclarer à l’IRPP. Le régime déclaration contrôlée quant à lui a plusieurs obligations : la tenue des livres, la comptabilité de trésorerie et la déclaration de résultats. L’avocat est par conséquent soumis à la TVA. La création d’une SEL entraîne plusieurs obligations, dont le respect des règles de la comptabilité commerciale, la tenue du grand livre et les comptes annuels. Il a soumis à la TVA mais peut également bénéficier d’une franchise de TVA dans certains cas. Pourquoi les avocats préfèrent se faire accompagner par un expert-comptable ? Selon les lois en vigueur, les avocats n’ont aucune obligation de travailler avec un expert-comptable et peuvent gérer eux-mêmes les démarches. Cependant, il est conseillé de se faire accompagner par un professionnel, car la comptabilité est un projet important pour le développement des entreprises. La tenue de la comptabilité permet de gérer efficacement les projets et d’assurer la pérennité des activités d’une entreprise individuelle ou d’une SEL. Les experts-comptables proposent des services en tenant compte du statut et du régime choisi. Les experts de Strego peuvent ainsi prendre en charge la gestion des obligations comptables et légales des entreprises. Ils peuvent les aider à suivre leurs performances et à optimiser le pilotage de leurs projets.

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Depuis sa mise en place, le statut d’entrepreneur individuel est générateur de revenus en France et permet à de nombreuses personnes de pratiquer une activité déclarée. Toutefois, les statistiques les plus récentes montrent que ce statut est en pleine crise. De plus, à l’horizon de 2013, le Gouvernement envisage une réforme du statut d’auto-entrepreneur, qui risque d’alourdir les conditions.

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