Berceau de la franchise, les Etats-Unis ont exporté partout dans le monde cette formule novatrice qui est arrivée en France dans les années 60. Pour le franchiseur, détenteur de la marque ou de l’enseigne, c’est la garantie d’étendre rapidement son activité avec un minimum de risque.

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Actuellement, il est difficile pour les grandes sociétés, mais aussi les particuliers de se passer des services de recyclage des déchets. Voilà pourquoi il serait intéressant de monter une entreprise de recyclage des déchets. Pour créer ce type de structure, il faut définir la spécialité de l’entreprise, choisir le statut juridique et trouver le financement de l’entreprise. La définition de la spécialité de l’entreprise de recyclage des déchets Pour créer une entreprise de recyclage des déchets, il faut commencer par définir sa spécialité. Cette étape est importante parce qu’il existe différents types de services de recyclage, selon la nature des déchets. Il y a le recyclage de papier, de plastique, de métal, de déchets d’équipements électriques et électroniques, de verre, de vêtements, de textiles ou encore de déchets organiques. Pour définir la spécialité, il est conseillé de faire une étude de marché. Il est question de recueillir toutes les données concernant le recyclage disponibles sur la zone dans laquelle vous souhaitez implanter votre entreprise. Ces données devront comprendre la surface de la zone concernée, les acteurs, les besoins de ces acteurs, le nombre d’habitants, la réglementation en vigueur, etc. Sans cette étude, vous n’allez pas savoir dans quelle spécialité il sera idéal de se lancer. Grâce à l’étude de marché, vous pourrez connaitre à peu près le nombre de demandes et le volume de l’offre sur le marché. Ainsi, vous allez voir si le projet de création d’entreprise de recyclage sera viable dans le temps. Le choix du statut juridique de l’entreprise de recyclage des déchets Après avoir défini la spécialité de l’entreprise, il est temps de choisir son statut juridique. Vous allez choisir ici la forme juridique de la société. Le statut juridique va avoir des impacts sur le régime social du dirigeant, le mode d’imposition de l’entreprise, l’existence ou non d’une responsabilité limitée. Il y a plusieurs formes d’entreprises mises à votre disposition pour créer votre entreprise de recyclage des déchets. Dans ce cas, il faudra choisir le statut juridique qui répond au mieux aux besoins de votre société. Il est toutefois recommandé de choisir celui qui sera adapté au développement de votre entreprise de recyclage. Vous avez le choix entre l’entreprise individuelle, l’entreprise individuelle à responsabilité limitée, l’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée, la société par actions simplifiée unipersonnelle, la société à responsabilité limitée et la société par actions simplifiées. La recherche de financement de l’entreprise de recyclage des déchets La création d’une entreprise de recyclage dépend également de la solution de financement retenue. Pour cela, il est conseillé de prévoir une somme d’argent considérable, qui permettra de mettre sur pied une entreprise. Pour connaitre le financement nécessaire, le business plan est essentiel. C’est le document dans lequel vous allez voir tout ce qui concerne le projet y compris les besoins financiers que ce soit pour sa création ou pour son fonctionnement. Ainsi, il vous est possible de voir si la société possède une viabilité financière. Pour financer le projet, les dirigeants disposent de leurs fonds propres grâce

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Le secteur du transport de passagers est très en vogue aujourd’hui. Cependant, pour pouvoir créer une société dans ce domaine, une bonne préparation est fortement recommandée. La formation permettra d’acquérir les compétences nécessaires pour réussir, mais comment y parvenir ? Voici quelques astuces pour réussir la création de société spécialisée dans le transport de passagers. Choisissez le bon modèle d’entreprise Avant de rédiger un plan d’affaires, assurez-vous d’avoir une bonne compréhension de l’industrie du transport de passagers. Ce marché comprend plus que des bus, des services de taxi et des navettes d’aéroport. Les bacs, les croisières, les compagnies aériennes de passagers et les services de limousine font tous partie intégrante de cette industrie. Il en va de même pour les services de covoiturage. Dans tous les cas, sachez que pour que tout se déroule à merveille, vous devrez avoir des permis et des certificats. Ainsi, pensez d’abord à suivre une formation capacité de transport afin d’obtenir un certificat. Cela vous aidera dans vos démarches. Créer un plan d’affaires Un plan d’affaires pour le transport de passagers doit comprendre un résumé de vos services, votre marché cible et vos objectifs. Il doit également décrire les principaux aspects de votre entreprise, tels que son nom et son emplacement, son énoncé de mission, sa structure juridique, ses dépenses et ses projections financières, la description de l’industrie, l’analyse des concurrents… Essayez de répondre aux questions suivantes dans votre plan d’affaires : combien de véhicules utiliserez-vous ? Allez-vous louer ou acheter vos véhicules ? Quels services prévoyez-vous offrir ? Qu’est-ce qui vous distingue de la concurrence ? Quel est votre client idéal ? De combien d’employés avez-vous besoin ? Quels sont les coûts impliqués ? Combien espérez-vous gagner ? Comment comptez-vous promouvoir votre entreprise ? Quelles licences et quels permis sont requis ? Quels objectifs avez-vous pour la première année ? Acheter une flotte de véhicules Décidez si vous louerez ou achèterez votre flotte de véhicules. La location d’une camionnette, par exemple, vous permet d’étaler les paiements dans le temps. De plus, vous n’avez pas à vous soucier des frais de réparation et d’entretien. L’inconvénient est que vous devrez peut-être respecter une limite de kilométrage, selon la société de location. L’achat d’un minibus, d’une fourgonnette ou d’autres véhicules coûtera plus cher. Cependant, vous pouvez toujours acheter des voitures d’occasion pour réduire vos dépenses. Que vous achetiez un véhicule neuf ou d’occasion, vérifiez au préalable le coût de l’assurance automobile. Les véhicules plus anciens comportent des primes d’assurance plus élevées. Estimez les coûts impliqués et recherchez vos options de financement. Les prêts pour les petites entreprises, les prêts bancaires, les lignes de crédit pour les entreprises sont tous des moyens courants d’obtenir un financement. Certains États offrent des subventions aux propriétaires d’entreprise qui achètent de nouveaux véhicules respectueux de l’environnement, c’est donc une option également. Si votre entreprise de transport de passagers a un concept unique, contactez des investisseurs providentiels. La licence et l’enregistrement Assurez-vous que votre entreprise respecte les lois en vigueur. Enregistrez-la, décidez d’une structure juridique et choisissez un nom commercial accrocheur. Vous devez également demander

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Si le DUER ou DUERP ne vous disent rien, le document unique de prévention des risques vous parle peut être davantage ? Ce document obligatoire recense l’ensemble des risques au sein même d’une entreprise. Le document unique permet de définir un plan d’action concret et précis sur l’ensemble des risques recensés par l’entreprise et afin de protéger la santé des salariés en premier lieu. Un point de départ préventif pour prévenir les risques La sécurité en entreprise est essentielle afin de garantir la santé des salariés qui y travaillent. Celle-ci contribue également à prévenir les accidents du travail et donc les arrêts maladies qu’ils provoquent au courant de l’année. Grâce au document unique, chaque chef d’entreprise pourra diminuer les risques et apporter un plan détaillé et concis des actions mises en place afin de réduire ceux-ci sur les différents postes de travail. Les risques peuvent également varier d’une entreprise à une autre. Ceux-ci peuvent être liés au transport, l’utilisation d’une machine en particulier, la pollution urbaine ou encore les agressions physiques ou verbales. Des actions de prévention pourront être mis en place grâce à des visites médicales plus fréquentes, la mise en place d’espaces de travail plus ergonomiques ou encore la restructuration d’un quai de déchargement afin de le rendre plus sécuritaire pour ceux qui y travaillent. Quelles étapes constituent la réalisation d’un DUERP ? La création du document unique de prévention des risques professionnels inclut différentes étapes jusqu’à l’élaboration du document. La préparation est essentielle et doit être mise en place à travers un groupe de travail constitué de la direction de l’entreprise, le CHSCT, les délégués du personnel, le responsable de la sécurité. L’étude du DUERP permettra de lister les différents risques rencontrés au sein de l’entreprise et ainsi de mettre un plan d’action efficace pour prévenir durablement ceux-ci. L’analyse prend également en compte le degré d’exposition du ou des salariés au risque rencontré. Une fois les risques listés, ceux-ci doivent être réduits ou totalement supprimés par le biais d’actions mises en place par la direction elle-même. Le comité d’hygiène de sécurité et les délégués du personnel peuvent également donner leurs avis ou leurs opinions sur les différentes propositions apportées au projet en lui-même. La mise à jour et le suivi Tous les salariés devront appliquer les recommandations suggérées par le DUERP concernant tous les risques listés dans le document. Chaque changement intervenant au sein de l’entreprise devra être mis à jour dans le document unique de manière obligatoire afin de conserver un DUER à jour réglementaire. Ou créer son document unique DUER ? Cette tâche incombe au chef d’entreprise qui devra créer le document ou confier la tâche à un salarié de l’entreprise tout en supervisant sa création finale. Le DUERP pourra également être créé de manière plus intuitive sur l’espace en ligne de la Start-Up CaptainRisk. L’entreprise propose justement un accompagnement complet sur la création d’un document unique via des offres accessibles en prix et via une interface simple, efficace et rapide d’accès pour commencer à créer son DUERP en ligne.

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Les entrepreneurs sont de plus en plus nombreux à vouloir lancer leur micro-entreprise. Cependant, ils hésitent souvent lors du démarrage. Trouver une idée de business n’est pas toujours évident. Encore plus si votre objectif est de travailler depuis votre domicile. Dans cet article, nous allons découvrir les opportunités qui s’offrent à vous. Pourquoi trouver sa première idée de business pour sa micro-entreprise Si vous avez déjà quitté votre travail pour passer à votre compte, l’affaire peut se révéler plutôt simple. Si vous êtes dans ce cas-là, généralement vous effectuez ce basculement du salariat vers l’indépendance financière en utilisant des compétences déjà acquises. Prenons l’exemple d’Olivia, ancienne comptable dans une TPE de taille moyenne. Son responsable direct lui a fait miroiter une augmentation de salaire qu’elle attend depuis trois ans. Elle décide de tout quitter pour prendre sa vie en main et se crée un statut d’auto-entrepreneur. Elle propose ses services en comptabilité à des prix attractifs, en commençant par les jeunes start-ups pour les alléger de la lourde contrainte que représente la comptabilité d’une entreprise. Grâce à ses compétences, elle gagne rapidement ses premiers euros. Cependant, nous ne sommes pas tous comme Olivia. On n’a pas toujours des compétences qui permettent de les utiliser ailleurs. Ou, tout simplement, on cherche justement à s’en éloigner parce que l’on est en quête d’autre chose. Si vous êtes dans ce cas-là et que vous cherchez une solution pour gagner de l’argent par vos propres moyens, il faut bien distinguer deux choses : Cherchez-vous une activité manuelle ou au contact des autres en vous faisant passer le moins de temps possible devant un ordinateur… ou, au contraire, souhaitez-vous mettre en place un système qui vous permettra de gagner de l’argent tous les mois de façon automatique même si cela implique de passer ses journées sur internet ? La distinction de ces deux points est vraiment importante. Ils ont la même finalité, mais leur quotidien ainsi que leur mise en place sont complétement différents. Un business en ligne pour tous ceux qui cherchent une liberté financière via les biens-faits de la micro-entreprise Le choix de la voie des business en ligne pour gagner de l’argent doit être fait en pleine conscience. Sur le papier cela parait alléchant, mais ce type d’activité ne va pas correspondre à tout le monde. À ce stade, vous vous demandez peut-être « mais à quoi ressemble un business en ligne ? ». L’objet de cet article n’étant pas de vous énumérer en détail toutes les possibilités que vous avez pour gagner rapidement vos premiers euros sur internet, voici le lien d’un site qui traite de ce sujet : Formation-revenu-complementaire.fr. Il vous permettra de vous faire une idée de ce type de business en ligne qui vous permettront de vous créer des revenus passifs sérieux. Pour faire court, le principe de chacune de ces opportunités est de mettre en place un système qui vous rapportera des revenus passifs tous les mois. Chacun nécessite du temps et des efforts de mise en

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D’après les statistiques, 25% des jeunes entreprises disparaissent avant leur deuxième année d’existence. Créer une entreprise est facile, mais garantir sa pérennité n’est pas évident. C’est là que les pépinières d’entreprises entrent en jeu. Elles contribuent au lancement et au développement des startups stables et pérennes. Les avantages d’intégrer une pépinière d’entreprises Également appelées couveuses d’entreprises ou ruches, les pépinières ont vu le jour dans les années 80. Actuellement, on n’en compte pas moins de 200 en France. Pour faire court, ce sont des structures dédiées au soutien des nouvelles entreprises. Elles proposent une solution complète aux jeunes entrepreneurs et leurs fournissent un local de travail (bureaux, salle de réunion, entrepôt…). Elles leurs mettent à disposition également les équipements nécessaires (meuble, téléphonie, connexion internet…) au lancement des jeunes entreprises. Les pépinières apportent les appuis techniques et financiers dont les entrepreneurs ont besoin. Cependant, il faut faire attention à ne pas confondre les pépinières, les ruches ou les incubateurs avec les « hôtels d’entreprises ». Ces derniers proposent uniquement un hébergement. Pour favoriser la réussite d’une création d’entreprise, les pépinières intègrent des services partagés dans leurs offres, tels que la gestion de la logistique. L’objectif est de permettre aux entrepreneurs de se concentrer uniquement sur le lancement de leurs activités. En plus de l’accueil, de l’hébergement et de la prise en charge de certaines tâches techniques et administratives, les incubateurs proposent également des accompagnements personnalisés. Ils proposent aux entrepreneurs diverses formations et les orientent dans leur recherche de solutions de financement et de partenaires. Les 3 types de pépinières d’entreprises Lorsqu’un porteur de projet veut intégrer une pépinière d’entreprises, il a le choix parmi 3 types de structures. Premièrement, il y a les incubateurs généralistes. On y trouve des jeunes entreprises de tous secteurs confondus. C’est le type de pépinière le plus répandu en France. Les pépinières mono-sectorielles quant à elles se sont spécialisées dans le développement durable, dans les métiers de la mer et dans l’écoconstruction. Les pépinières d’entreprises innovantes n’encadrent que les entrepreneurs désireux de percer dans les domaines où prime l’innovation, tels que l’ingénierie médical ou l’électronique. Permettre à deux ou plusieurs entreprises de partager un espace de travail est le point commun des différentes pépinières. Néanmoins, les adhérents ne profitent pas uniquement des infrastructures et commodités partagées. Un incubateur leur permet de travailler de manière collaborative. Les jeunes entreprises peuvent ainsi partager leurs efforts, leur savoir-faire et leurs réseaux. Pour intégrer de ces structures, il est nécessaire de constituer un dossier de candidature plus ou moins solide. Pour prétendre intégrer une pépinière connue ou un espace coworking à Saint-Étienne de Montluc, le minimum est de présenter un business plan convaincant, qui démontre le potentiel économique de son projet ou de sa startup.

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Organiser un évènement qu’il s’agisse d’une soirée, d’une rencontre, d’une offre commerciale ou bien d’une formation, n’est jamais une chose simple. On peut bien se perdre dans les différentes démarches, mais la question est de savoir où déposer son annonce. De nombreux organisateurs se lancent à l’assaut des plateformes dédiées, une sorte de pot commun en ligne qui sert de billetterie. Sélectionner sa billetterie en ligne En matière de plateforme de billetterie, Cityvent n’est pas la seule à fournier ce service. Il convient comparer les offres avant de passer à l’inscription. Le choix peut certainement se faire en fonction des besoins et des conditions mais aussi en fonction du tarif. Il y a des frais prélevés par la plateforme pour la commission mais en général, la plupart sont abordables. Pour les billets vendus de moins de 24 par exemple, le tarif peut être en dessous de 1 euro et pour les événements de plus de 24 billets, ce sera à partir de 2 euros. Le choix doit pouvoir se faire en fonction de ces critères mais aussi selon les outils de personnalisation. Les fonctionnalités peuvent être utiles lorsqu’on souhaite décrire l’évènement organisé avec précision. L’avantage est que les utilisateurs ne seront plus contraints de diffuser l’annonce sur les réseaux sociaux. Créer l’évènement en toute simplicité La création d’un évènement sur un canal de diffusion passe souvent par l’inscription. On doit d’abord créer un compte personnel en renseignant sur quelques informations sur son compte bancaire. Cette étape demeure indispensable pour s’identifier sur le site, pour protéger son compte et gérer sa trésorerie. Lorsqu’un participant souhaite réserver un billet, il va faire la même procédure et effectuer directement la transaction sur le compte de l’organisateur. Simple, sécurisé et rapide, ce service simplifie non seulement la transaction mais aussi la gestion de ses événements. On peut publier plusieurs événements dans une année et quand l’un d’eux a connu un succès, les internautes n’hésiteront pas à partager leur retour d’expérience et à recommander la plateforme. Lorsqu’on crée un évènement, il en va de soi de remplir un petit formulaire en précisant le nom de l’évènement : massage, cours informatique, atelier de cuisine, service-traiteur, soirée privée. A la différence des autres canaux de diffusion, une billetterie est aussi dédiée aux particuliers qui souhaitent organiser des soirées privées. Ainsi, on peut proposer des événements pour tous les publics ou pour les personnes que l’on connaît. Une fois qu’on a saisit le nom de l’événement, on indique ensuite le nom de l’organisateur ainsi que le type d’évènement à organiser : concert, soirée, spectacle, cours et atelier. Savoir bien décrire l’évènement Pour la description de l’annonce, on peut se permettre toutes les fantaisies. Seulement voilà, il s’agit d’un événement, cela veut dire qu’il doit y avoir une date, l’heure du début et de la fin, un lieu et un tarif. Peu importe le nombre de ligne que l’on va utiliser pour convaincre les participants de s’y rendre, l’important c’est de rédiger une description détaillée de l’évènement. On doit

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Le brand content, également appelé contenu de marque ou marketing de contenu, entre autres noms, ne concerne que la narration, mais pourquoi est-il si important pour le marketing de votre entreprise ? Voici les cinq principales raisons pour lesquelles nous pensons qu’il est impératif de commencer à planifier l’intégration de contenu vidéo de marque dans votre prochaine campagne. Votre public en a vraiment besoin Le contenu de marque ou le brand content fonctionne comme un charme, car s’il est bien fait on l’apprécie. Pensez à la dernière fois que vous avez adoré une vidéo sur un réseau social et il y a de fortes chances que ce soit un contenu de marque. Cette vidéo en particulier vous a donné envie de vous y attarder en la regardant plus longtemps, et vous avez peut-être commenté la publication. Cela vous a également amené par inadvertance à vouloir écouter le message relayé. Vous l’avez peut-être partagé, ce qui nous amène au point suivant. Le brand content, c’est un contenu partageable Le contenu de marque est un contenu partageable. C’est quelque chose que quelqu’un d’autre juge digne de partager. Le partage peut se faire par le biais des réseaux sociaux. La création de contenu partageable est le meilleur moyen de lutter contre les algorithmes de médias sociaux en constante évolution (notamment Facebook), car cela crée une armée de personnes qui diffusent votre annonce pour vous. Le contenu partageable, quand il est bien fait, est mémorable et percutant. Mais bien évidemment, pour pouvoir atteindre son objectif, il est préférable de confier la création de son brand content à un professionnel en la matière. Le contenu de marque peut avoir un impact incroyable Savez-vous pourquoi tant de spécialistes du marketing utilisent le marketing humoristique et émotionnel dans leurs publicités ? Parce que c’est mémorable. Les vidéos humoristiques et émotionnelles créent une impression durable sur ceux qui en consomment sur le plan psychologique. La comédie fonctionne parce qu’elle oblige le public à « comprendre la blague », ce qui oblige son cerveau à réfléchir à ce qui se passe afin de comprendre la ligne de frappe, en imprimant inconsciemment le message dans l’esprit du consommateur. Les campagnes de marketing émotionnel touchent le cœur et ont un lien plus profond entre le public et son public, créant ainsi cette impression durable que nous continuons à mentionner. Le contenu de marque vous permet de faire passer votre message plus facilement Une vidéo de brand content peut permettre en 30 secondes à une personne de lire une histoire pendant deux minutes pour la comprendre. De plus, pour votre visibilité, les professionnels dans le domaine ont un moyen unique de créer un contenu visuellement attrayant qui engagera votre public et fera passer votre message en 30 secondes ou moins. Ils peuvent également créer un contenu plus long si votre public veut plus d’histoire que ce qu’ils ont vu dans ce film de 30 secondes.

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Un projet PIM (Product Information Management) permet l’accès de différents canaux à des données stables concernant les produits d’une entreprise. Il s’agit de la création d’un référentiel commun, qui peut être partagé avec toutes les filiales sans risquer la perte ou la corruption du contenu. Il ne faut pas le confondre avec une base de données changeante telle que le prix ou la quantité de produits en stock. Ce type de projet nécessite une fine collaboration entre plusieurs départements de l’entreprise, comme le marketing, le design de produits ou le service commercial. La présence d’un chef de projet qui peut prendre de décisions pour plusieurs départements et qui a une vision globale des besoins de l’entreprise est obligatoire. Le directeur du système informatique n’a pas les privilèges nécessaires pour mener à bien ce type de tâche, c’est pourquoi il est recommandé que cette décision soit prise par quelqu’un de la direction générale. L’analyse de besoins et la collecte de données Un des rôles principaux du PIM est de faire gagner du temps dans différents secteurs. Cela ne signifie pas qu’il est dans votre intérêt de presser sa mise en place. Il faut accorder le temps nécessaire à la préparation, ce qui exige parfois 2 années. Pendant ce temps, l’équipe va dénicher les besoins des services que le projet va desservir et va créer un dictionnaire de données sur lequel sera basé votre référentiel unique. Il faut y introduire par exemple des paramètres comme les spécifications techniques et les descriptions des produits. Pour certains services relatifs au divers media ou à la traduction des textes il faudrait travailler avec des prestataires externes. Le partage d’information dans les projets PIM Uniquement après avoir finalisé ces étapes, il sera possible de créer un référentiel que tous les acteurs impliqués peuvent partager et utiliser aisément. Il existe plusieurs manières de donner un format vraiment utilisable à ce projet. En fonction des logiciels préférés de l’entreprise, le PIM peut être connecté à l’ERP ou partager les informations par l’intermédiaire des bases de données ou des logiciels destinés à la gestion des fichiers media. Un projet bien implémenté et géré aura comme résultat le fonctionnement plus harmonieux et la meilleure communication entre les secteurs. Si votre entreprise a besoin d’un PIM efficace et avec une interface conviviale, Next Decision met à votre disposition des services de conseil dans la gestion des produits. Les consultants Next Decision vous aideront à unifier les données pour gagner du temps et faciliter la collaboration entre les différentes équipes de votre entreprise.

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